Watch how Volvo Cars drops new cars from 30 metres to help rescue services save lives. 9086

 


  

It is the most extreme crash test ever executed by Volvo Cars, and a crucial one. Extrication specialists often use cars crashed at the Volvo Cars Safety Centre to hone their life-saving skills.

 

To allow rescue services to prepare for any possible crash scenario and to simulate the forces that erupt in the most extreme crashes, beyond what can be simulated with ordinary crash testing, Volvo Cars recently took equally extreme measures. For the first time, it dropped several new Volvos multiple times from a crane, from a height of 30 metres.

 

This approach helped create enough damage to adequately simulate the damage found in the most extreme crash scenarios: think of single-car accidents at very high speed, accidents whereby a car hits a truck at high speed, or accidents whereby a car takes a severe hit from the side.

 

 

In such situations, people inside the car are likely to be in a critical condition. Therefore the priority is to get people out of the car and to a hospital as quickly as possible, using hydraulic rescue tools known in the industry as ‘jaws of life’. Extrication specialists often talk about the golden hour: they need to release and get a patient to the hospital within one hour after the accident has happened.

 

“We have been working closely together with the Swedish rescue services for many years,” says Håkan Gustafson, a senior investigator with the Volvo Cars Traffic Accident Research Team. “That is because we have the same goal: to have safer roads for all. We hope no one ever needs to experience the most severe accidents, but not all accidents can be avoided. So it is vital there are methods to help save lives when the most severe accidents do happen.”

 

All findings from the crashes and the resulting extrication work will be collected in an extensive research report. This report will be made available free of use to rescue workers elsewhere, allowing them to benefit from the findings and further develop their life-saving capabilities.

 

Usually, rescue workers get their training vehicles from scrapyards. But these cars are often up to two decades old. And in terms of steel strength, safety cage construction and overall durability, there is a vast difference between modern cars and those built fifteen to twenty years ago. And new Volvos are made of some of the hardest steel found in modern cars.

 

This makes it crucial for rescue workers to constantly update their familiarity with newer car models and review their processes, in order to develop new extrication techniques. In other words, these training sessions can mean the difference between life and death. So at the request of the rescue services, Volvo Cars decided to step things up a notch.

 

“Normally we only crash cars in the laboratory, but this was the first time we dropped them from a crane,” says Håkan Gustafson. “We knew we would see extreme deformations after the test, and we did this to give the rescue team a real challenge to work with.”

 

A total of ten Volvos, of different models, were dropped from the crane several times. Before the drop, Volvo Cars safety engineers made exact calculations about how much pressure and force each car needed to be exposed to, in order to reach the desired level of damage.

 

 


Fr:

 

Volvo Cars fait tomber des véhicules neufs d’une hauteur de 30 mètres pour aider les services d’urgence à sauver des vies

 

 

 

  

Il s’agit du crash test le plus extrême jamais réalisé par Volvo Cars, mis au service d’une cause majeure. Les experts en désincarcération ont souvent recours aux voitures passées au crash test par le Centre de sécurité de Volvo Cars pour perfectionner leur aptitude à sauver des vies.

 

Afin de permettre aux services de secours de se préparer à des scénarios hors normes en simulant les forces en jeu lors de collisions extrêmes, plus violentes encore que celles simulées lors d’un crash test conventionnel, Volvo Cars a récemment pris une initiative non moins extrême. Pour la première fois, le constructeur a fait tomber plusieurs Volvo neuves du haut d’une grue de 30 mètres, et ce à diverses reprises.

 

Cela a permis d’endommager suffisamment les véhicules pour simuler les dommages observés lors des scénarios de collision les plus extrêmes, qu’il s’agisse d’un accident impliquant un seul véhicule lancé à très grande vitesse, d’une collision à grande vitesse entre une voiture et un camion, ou d’un grave choc latéral infligé à un véhicule de tourisme.

 

Dans de telles situations, la vie des occupants du véhicule ne tient parfois qu’à un fil. La priorité est donc de les en extraire pour les conduire à l’hôpital aussi vite que possible, à l’aide d’engins hydrauliques de désincarcération également appelés « mâchoires de survie » dans le jargon. Les experts en désincarcération utilisent souvent l’expression « heure d’or » pour désigner l’heure dont ils disposent à compter de l’accident pour dégager les victimes et les amener à l’hôpital.

 

« Nous collaborons étroitement avec les services de secours suédois depuis de nombreuses années », rappelle Håkan Gustafson, chercheur en chef de l’équipe de recherche Volvo Cars spécialisée dans les accidents de la route. « Nous partageons en effet un but commun : celui de rendre la route plus sûre pour tous. Nous souhaiterions que personne n’ait à subir un accident d’une extrême gravité, mais le risque zéro n’existe pas. Il est donc crucial de savoir s’y prendre pour sauver des vies lorsqu’un tel drame survient. »

 

Tous les résultats des crash tests et des exercices de désincarcération consécutifs seront compilés dans un rapport de recherche exhaustif. Ce rapport sera gracieusement mis à disposition des secouristes des autres pays afin qu’ils tirent parti de son contenu pour perfectionner leur aptitude à sauver des vies.

 

Les secouristes s’entraînent habituellement sur des véhicules mis à la casse, mais il s’agit souvent de modèles ayant plus de vingt ans. Or en termes de résistance de l’acier, d’architecture de l’armature de sécurité et de durabilité globale, la différence est abyssale entre les voitures actuelles et celles construites il y a quinze ou vingt ans. Et l’acier des nouvelles Volvo compte parmi les plus résistants du parc automobile moderne.

 

Dès lors, il est fondamental pour les secouristes d’actualiser constamment leur connaissance des nouveaux modèles de voiture et d’adapter leurs procédures pour élaborer de nouvelles techniques de désincarcération. Autrement dit, ces séances d’entraînement peuvent faire la différence et sauver des vies. À la demande des services de secours, Volvo Cars a donc décidé d’aller plus loin.

 

« D’habitude, nos crash tests ont lieu en laboratoire. C’est la première fois que nous faisons tomber une voiture du haut d’une grue », explique Håkan Gustafson. « Nous savions que cela entraînerait des déformations extrêmes, à même de mettre l’équipe de secours au défi. »

 

Au total, dix Volvo de modèles différents ont été jetées de la grue à plusieurs reprises. Avant cela, les ingénieurs sécurité Volvo Cars ont calculé précisément la pression et la force auxquelles chaque voiture devait être soumise pour atteindre le niveau d’endommagement souhaité.

 

 

Source: Volvo Cars.





















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