Christian
Lahaye | Publié le 1 décembre 2019
Depuis trois ou quatre ans, Pierre Migisha n’a plus de
voiture et se déplace en transports en commun.
Ce passionné de foot entre en politique en tant que
député bruxellois, avant de rejoindre Bianca Debaets dont il devint le
porte-parole. Il l’est toujours, même si elle n’est plus ministre.
Lorsque nous avons rencontré Pierre Migisha, c’était dans le
but d’évoquer le Panathlon Wallonie-Bruxelles, une organisation qui œuvre pour
le développement de l’éthique sportive et la promotion du fair-play dans le
sport. L’ancien athlète Philippe Housiaux est l’âme de cette association et
Pierre Migisha en est l’un des administrateurs bénévoles. Lorsqu’il se
déplaçait encore sur quatre roues, notre interlocuteur était propriétaire d’une
Opel Astra.
« Un look dynamique »
« Avec la Volvo, évidemment, j’ai découvert un autre
monde. La voiture n’est plus seulement un objet de déplacement, c’est aussi une
ode à la puissance, au luxe et au plaisir de conduire. Mes trois enfants se
sont régalés dans cette voiture aux dimensions et à l’habitabilité
remarquables. J’ai été très impressionné par la justesse du design et par son
look, tant extérieur qu’intérieur, particulièrement dynamique. La boîte de
vitesses automatique est particulièrement bien étagée et ne laisse planer aucun
doute quant à la puissance du moteur. Au démarrage, elle a du répondant. Par
contre, la consommation annoncée par le constructeur ne tient évidemment pas
compte de la manière dont on conduit. Il faudra donc hausser quelque peu les
chiffres », confie notre témoin.
Et n’a-t-il pas été surpris par les développements de la
technologie ? « Non, et pour une seule raison : le tableau de bord inter-actif est facile à utiliser et les différentes fonctions tombent sous le
sens. Je m’y suis fait sans difficulté, non pas que je sois plus malin qu’un
autre, mais parce que c’est facile à comprendre et à utiliser. En matière de
connectivité, la Volvo est un régal et j’imagine que tous les modèles de la
gamme sont logés à la même enseigne. »
La S60 est un parfait équilibre entre confort et maîtrise.
Chez Volvo, ils ajoutent qu’elle crée un sentiment de connexion avec la route.
Ce n’est pas faux. La tenue de cap ne souffre aucune discussion. Cette berline
dite sportive donne l’impression de fendre l’air. Et en silence, s’il vous
plaît !
L’œil du spécialiste
Berline particulièrement réussie, la Volvo S60 a une
personnalité bien ancrée et on ne peut la confondre avec les autres productions
du constructeur suédois. On évoque souvent les SUV de la marque et la
soi-disant pléthore de modèles propulsés sur le marché par le constructeur
nordique. Pourtant, il n’y a que huit instruments dans l’orchestre scandinave :
trois SUV, trois breaks et deux berlines. Autant dire que les premiers ne sont
pas seuls et que Volvo n’a pas d’attitude boulimique. La différence entre l’exactitude
des chiffres et les croyances quant au nombre de Volvo ne passe pas la rampe de
la réalité. Ce qui est exact, par contre, c’est que Volvo ne construit plus de
petites voitures. Les tarifs les plus bas concernent la X40 (break) et
commencent à 22 000 euros, mais les prix moyens sont habituellement plus
élevés. L’image et la réalité rappellent, comme dans le cas de la Volvo S60,
que ce constructeur joue d’abord la carte de la qualité.
Source : Paris Match.be
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